Junebug. ♦ Tu dois admettre qu’il est possible que dieu ne t’aime pas du tout.

cristalline.

• START PLAYING
nom : Ce n'est pas un patronyme quelconque, pas un nom qui ne veut rien dire, qui n'est pas connu, ni pris avec tant de sérieux. Une famille recomposée dans une autres, les deux autant l'une que l'autre à cheval sur leurs principe fondamentaux. Et lorsque je cite mon nom, c'est un ravalement de salive dans la gorge, une bouche tombante que j'aperçois. Ils se sont fait un nom depuis des siècles, les Warhol-O'Connor. Je suis belle et bien, une descendante du fameux artiste Warhol. Acclamez mon nom, bande de crétin !
prénom(s) : M'étant légèrement emporter sur le patronyme, je compte désormais céder cette question pour aller retrouver l'autre. Junebug. Allez savoir pourquoi, je n'ai jamais réellement su. Mais il faut dire que je n'en suis pas déçu. Rare sont les femmes et filles s'appelant « Junebug ». Bien entendu, j'ai une longue lignée de prénoms par la suite tous marqué sur cette carte d'identité. Pour n'en citer que quelque uns, et les plus importants, comme Andy en hommage à mon grand-père. Puis, il y a eu : Marie, Bérénice, Maryline ( en ce demandant pourquoi. ) Julia et une dizaines comme ça. Moi, je dis bonne chance au curée qui me mariera.
âge : Selon les variantes, beaucoup pourrait me donner dix-sept ans, ou bien vingt-trois ans. Et tout ça en l'espace de deux jours. Vêtements différents, coiffures différentes, elles changent toutes la donne et me font paraître, plus jeune ou plus vieille. Avantage ou désavantage ? Faites un choix. Mais peut importe, selon les statistiques, le calcul depuis ma naissance, et tout ce qui s'en suit, j'ai exactement dix-neuf ans, six mois et deux jours.
date de naissance & Lieu de Naissance : Une paperasse provenant du l'hôpital, et tamponné par la mairie atteste que je suis née le 02, Juin, 1991. Mais moi, j'ai plutôt tendance à dire que je suis née un soir pluvieux, bruyant d'orage, les éclairs s'abattaient violemment sur St John's situé en Terre Neuve et labrador. Enfin, ça, ce n'est que le début d'une histoire.
nationalité : Étant née au Canada, j'ai reçu forcément cette nationalité, mais, entre temps, j'ai aussi acquis la nationalité britannique, ayant de la famille là-bas et de nombreuses demeures familiales, j'y ai également vécu. Par envie, j'ai eu la nationalité française, Paris étant une capitale apprécié de tous, j'ai préférée me prendre la nationalité afin d'être française à part entière. Ou du moins, ce que je peux prendre être. Enfin bref. Une multitude de nationalité, manquerait plus que celle des États Unis, et mon avenir est assuré.
occupation : Artistes, de mères en filles, on se passe le flambeau. Mais, je reste la seule à pratique autant d'arts. Je suis une peu leur enfant prodige. Je joue ainsi, du piano, de la guitare, ainsi que du violon. Le chant étant très peu pour moi, je me consacre alors à la lecture des millions de musique sur internet ou que je possède. Je lis beaucoup, les livres de crimes et de psychologie étant un rayon que j'aime beaucoup. J'ai fais du journalisme pendant un temps, et puis j'ai fais une pause. Il reste alors la photographie, et le sport. Des arts qui se combinent tous bien ensemble.
lieu de résidence : Je vis exactement c'est temps-ci à Vancouver, au Canada. De l'autre côté du continent Américain, côté qui fait face aux côtés Asiatique et Russe. Si loin de ma ville natale St John's. Ceci étant fais exprès. Je vis dans le quartier West de Vancouver.

• JUST FACULTATIVE
Avez-vous connu Jon Aldridge ? : À part le nom sur le journal que j'ai tapé, les quelques recherches faites sur lui pour faire un article décent. C'est tout ce que je sais de lui. Pas grand chose en somme. J'ai su très vite qu'il était quelqu'un de bien, ou du moins, si cela est faux, le bobard à plutôt était bien construit il faut dire, vu que la majorité des personnes approuves cette affirmation. Qu'il avait un frère ( ne précisons pas la nature de son frère d'ailleurs. ) une petite sœur, et des parents aimants. Le genre de mec qu'on adorerait tous rencontrés.
Pensez-vous qu'on puisse aimer deux personnes en même temps ? Non. Il y aura la personne que vous aimez, plus par attachement, par simplicité, par envie d'avoir une existence facile avec elle, fonder une petite famille tranquille. Un amour sans complication, sans choix, un amour facile, qui coule de source. Mais vous avez l'autre, à laquelle vous vous accrochez désespérément, où les choix seront bien plus durs à faire, où vous vous sacrifierez tout pour cette personne, l'amour facile que vous éprouvez pour la première personne, votre boulot, votre famille, vous ferez tout et n'importe quoi pour elle, parce que vous savez, que ce n'est plus de l'amour pure et simple, c'est de l'obsession, de la fascination pour l'être. Vous êtes sûr de ne pas tomber dans la routine, mais de vivre une passion déchirante et obsessionnelle avec cet être. Espérons qu'en retour, ce sentiment est réciproque. Sinon, il ne vous reste plus qu'à mourir.
Votre citation préférée et pourquoi ? Tout d'abords.
« Si deux personnes s'aiment, il ne peut y avoir de fin heureuse. » De Ernest Hemingway. Parce que développé un petit peu plus haut, vous mourez soit d'ennui et de routine, ou vous mourez d'amour déchirant, réciproque ou non.
« Le monde est un théâtre, mais la pièce est mal distribuée. » De Oscar Wilde. Je n'ai jamais compris, cette citation demeurait l'une qui me convient le mieux. Peut-être que ma vie est cette pièce si mal distribué. En même temps, les acteurs y sont parfois de très mauvais joueurs.
« C'est drôle comme les gens qui se croient instruits éprouvent le besoin de faire chier le monde. » De Boris Vian. Celle là aussi est plutôt pas mal, il faut le dire. Et je crois surtout qu'elle reflètent exactement notre société à moitié cultivé.

• WHAT I AM
pseudo : BOND. james bond.
âge : quinze ans à tout cassé.
avatar : emma watson.
comment avez-vous connu R•M ? : bazzart.

LA VIE, C'EST TRÈS DRÔLE, SI ON PREND LE TEMPS DE REGARDER.

St John's, le 02 juin 1991 à 23H45. « Il me semble que vous ne prônez pas la politesse, et que votre langage, ainsi que votre gestuelle manque de grâce, mais ça, je mettrais ma main à coupé que c'est dû au fréquentation, et au quartier dans lequel vous habitez. » Alors que ma mère tentez tant bien que mal de trouver une faille dans le jeu de rôle du nouveau petit ami de ma grande sœur, c'est à l'instant même que je décida de pointer le bout de mon nez, pour faire poétique, l'heure était arrivé que j'entre dans ce monde dépourvu de bonheur. C'était en tout cas, le moment de chance de ce cher « Jack » ou numéro 67 que j'indiquerais plus tard. Alors que la jolie famille était au complet lors d'une réception un soir pluvieux et orageux, la poche des eaux se déchira sur les jolis chaussures de ma mère, et ainsi du numéro 67 alors que celui-ci terminait sa phrase. «  A vrai dire, madame, je pense surtout que ce sont vos airs et manières qui sont bien plus hauts que moi. Ainsi... Ainsi vous venez de perdre vos eaux sur mes chaussures italiennes faites pour cette nuit. » Alors, qu'elle haussait le sourcil, il n'y avait aucune gêne qui s'exprimait, il me semble aussi que ce n'était qu'une belle vengeance personnellement pour les trois mois à venir. Nous allâmes tous alors à l'hôpital le plus proche et ma mère m'infligea la vie, comme on inflige une punition à un gosse. Ce n'est pas exagérer croyez-moi. J'ai depuis ce jour-là toujours vécu dans une famille aristocratique, basé sur des règles si précieuse que la personne qui les enfreints est sévèrement châtié de la famille. Le tout d'un blabla permanent sur comment donner une bonne impression des Warhol-O'Connor d'une époque moyenâgeuse alors que nous étions désormais au vingt et unième siècles. J'aspire alors depuis ce grand jour, encore en vain, d'essayer de briser les tabous qui enveloppe notre famille pour paraître bien plus évolué que dans la normale. Et je n'ose en aucun cas à briser certaines règles. L'avantage, c'est que je n'ai jamais été puni si « sévèrement » , un mois brunch, serait pour moi plus qu'un réelle plaisir qui me donne l'envie de continuer à tout gâcher.

Londres, le 26 octobre 2001 dans l'après-midi. « Et comment voyez-vous l'amour, miss June. » « Et vous ? Je parie que c'est une fleur qui éclot, mais qui fane. N'est-ce pas ? » « Vous lirez même presque dans mes pensées. » Alors qu'intérieurement, je n'avais qu'une envie c'était de lui cracher à la gueule, je me retint, et fis en sorte de sourire harmonieusement, afin de faire passer cette conversation plus rapidement. Alors que j'avais tout juste dix ans, j'étais en partie, la fille de la famille la plus cultivé et plus intelligente de mon âge, en gros, la Lisa des simpsons, une fille qui s'intéresse à énormément de chose, et qui ne ce complique pas la vie. Celle qui sourit mais intérieurement ne veut qu'exploser. Une certaine Rose Dewitt-Bukater (Titanic) dans un corps de dix ans. J'exagère surement, peut-être mais ça reste ce qui me marque le plus. Alors que je lui répondais sur un bref sourire : « Presque. » Un jeune homme invité pour la soirée venait saluait le monde qui nous regardait. Douze, treize ans lui aussi. Une merveille physique, intellectuel ? Je ne lui ai jamais réellement adressé la parole, aujourd'hui, il est marié avec ma cousine, mais que dire, un bref sourire, et rien d'autre ou presque..

Paris, 14 juillet 2009, dans la soirée.

FIGHT CLUB le bonheur de tous.
Merci

Merci trop meugnon l'avatar.
Ah peut-être, je n'ai pas regardé, et en plus c'est un scénario et nous sommes deux en compétition ce soir, et il y en a une qui est venue mais qui n'est pas réapparu alors.

Bienvenuuue.

Merci (encore une fois) d'avoir pris le rôle. Puis j'aime beaucoup ta fiche pour le moment.