[F - K.CASSIDY] you are a natural disaster & I've wanted you too much

NOM : Pendleton, ou quelque chose qui sonne anglais d'Angleterre, s'il vous plaît
PRÉNOM(S) : Denzel, pour le scénario, j'aime bien les trucs étranges (aa)
ÂGE : 25 ans
PHYSIQUE, CARACTÈRE : bornée - rancunière - égoïste - pragmatique - brillante - profiteuse - chiante - insensible - handicapée des sentiments - mauvaise perdante - maligne - malicieuse - joueuse - charmante - franche - sensuelle, dans le genre ULTRA MÉGA TORRIDE
AVATAR(S) SOUHAITÉS : Prioritairement Katie Cassidy, en brune ou en blonde, ça ne m'importe pas le moins du monde. Je veux simplement que l'avatar ait du caractère, du chien, du genre de Katie ou comme l'est Taylor Warren. Ça va être une femme forte, légèrement garçon manqué, bornée, têtue et impatiente comme pas deux. Je me donne un véto pour l'avatar, mais je fais confiance à votre jugement!
NATURE DU LIEN :
« Tu veux de moi derrière le volant de ta caisse? Putain, pourquoi j'ai pas de magnéto pour enregistrer, tu répètes ça? ». Je me redresse lentement de son lit, parce qu'elle est déjà debout, portant mon t-shirt, largement trop grand pour elle. Je pourrais pas expliquer à quel point je la trouve torride comme ça. Elle se retourne, un sourire sur les lèvres, posant ses genoux sur le lit, derrière l'atelier, dans le fond du garage qu'elle tient depuis la mort de son grand frère dans un accident de voitures, il y a trois ans « Compte pas sur moi pour être ces petites connasses qui se mettent au garde à vous pour tes beaux yeux Connor ». Un sourire naquît sur mes lèvres et je les presse contre les siennes, fourrant ma main dans ses cheveux, mon autre se posant dans le bas de son dos, descendant légèrement les doigts pour frôler le galbe de ses fesses « Tu vaux mieux que ça, t'es le seul mécano au monde avec qui je risque de froisser des draps ». Je sens son sourire contre mes lèvres, et elle prolonge le baiser, se renverse sur moi, s'étend de tout son long sur mon corps, pose mes poignets sur l'oreiller. Je pourrais les retirer en deux temps, trois mouvements, mais je n'en ai pas envie. J'avoue que j'aime bien le fait que ce soit elle qui ait le dessus, ou croit l'avoir, peu importe. C'est excitant, mais grave « Si t'accepte de courir pour moi, Connor, j'vais être ta patronne, et la patronne baise pas les subordonnés... ». Je sens ses lèvres dans mon cou, et puis je lève les jambes, force son bassin à descendre contre le mien. Je libère l'un de mes poignets pour pouvoir, du bout des doigts, relever son menton « Considère-moi comme ton associé alors, Mercy, parce que je suis le pantin de personne, compris? ».