| | | TERMINÉ - CONNOR • things you own end up owning you |  |
| | |
| Auteur | Message |
|---|
Connor Durden-Fairchild
JESUS! are you going to tell me what’s going on? it’s like a fucking episode of The OC
• Messages : 83
• Pseudo : Emmecie
• Copyright : Aurelie
• I DON'T WANT TO MISS A THING
• EMPLOI: au chômage le jour, sur les pistes de nuit
• ÂGE DU PERSONNAGE: 25 ans
• CONTACTS:
| Sujet: TERMINÉ - CONNOR • things you own end up owning you  Dim 20 Juin - 0:20 | |
|  TUMBLR• START PLAYING
nom : Durden, du côté de ma mère, et Fairchild, de l'autre. En fait, c'est plus parce que je trouve ça ironique de garder son nom de famille quand mon père est le pire trouduc que la Terre ait mis au monde. Pourtant, ça paraît pas, à première vue, il travaillait pour la NASA, travaille pour la NASA, est devenu accro à l'effet que ça faisait d'être hors de l'atmosphère. Il a tellement fait de trucs moches pour tenter de contourner les règles pour y retourner qu'il s'est fait foutre en taule. J'vous annonce officiellement donc que la femme qui m'a mis au monde, qui n'est pas tout à fait dé-Woodstock-isé, n'a pas supporter. D'où on a été moi et elle pendant une quinzaine d'années, heureux comme des rois, jusqu'à ce qu'elle se mette en couple avec l'autre con de Bentley. Et puis quoi encore, avoir un nom de voiture de luxe et être fauché comme le blé? Si c'est pas un squatteur, ça, j'en mange mes bas!
prénom(s) : Encore heureux que je puisse m'appeler Connor, et pas Fleur ou Soleil. Je suis sûr que ça aurait plu à ma mère, sans blague. Je crois que c'est le seul truc pour lequel j'suis heureux d'avoir eu un père durant les premières années de ma vie, comme ça, au moins, je porte pas un nom hippie comme Tournesol ou autres conneries. Cependant, ma mère devait être convaincante, parce que mon prénom, mon second, c'est Hendrix. Hendrix, putain, elle a vraiment pas compris que ça le faisait pas. Quoique, le guitariste mérite le repos éternel et le privilège de résonner dans mes oreilles le soir venu, dans les écouteurs, pour enterrer la petite voix aigüe et agaçante de Jules....
âge : 24 ans
date de naissance : 12 août
lieu de naissance : Venice Beach, Californie
nationalité : Américaine
occupation : Tueur à gages, comme Blade En fait, ma mère pense que je suis sur le chômage et son connard de petit-ami pense que je suis un putain de loser qui est trop gâté pour travailler. J'lui fourre mon pied profondément là où j'pourrais lui chatouiller la prostate. Je suis un mec qui vit la nuit, mon truc à moi, c'est la vitesse, les voitures, les courses. C'est vrai que c'est foutrement illégal, mais le pactole qu'on peut amasser, eh bien, ça en vaut mille fois le coup. Je fais des petits boulots pour aider à monter ma voiture, le reste, c'est l'argent qu'envoie l'assurance pour mon père. Ma mère veut pas l'utiliser, et j'suis pas fier d'le faire, mais c'était la seule façon de me monter une voiture. Donc, je cours pour épater la galerie, pour la thunes, pour l'adrénaline, l'alcool et les filles. C'est pas beau ça ?
lieu de résidence : Vancouver, Colombie-Britannique
• LIFE IS LIFE
Anecdote(s) :
« Dieu ne croit plus en toi, mon fils ». Je redresse la tête, passe la main dans mes cheveux, me rend compte que je me suis endormi en plein sermon. Je dois avoir huit ans, à la limite, dix. Ce sont dans les derniers souvenirs que je conserve de mon père, ceux clairs, qui me rappellent vraisemblablement pourquoi je le déteste « Ça me va très bien, je crois pas en lui non plus ». J'entends les gens qui élèvent la voix dans l'église. J'ai toujours eu horreur de cet endroit froid et hostile à la vie humaine, comme si on avait comme devoir d'avoir l'air aussi lugube que pendant un enterrement, que l'on devait se réjouir de la mort d'un type il y a plus de 2000 ans parce qu'il est revenu pour repartir aussi vite. Ma mère n'est pas là, elle est à l'une de ses rencontres pour son cercle littéraire. J'avoue que je n'ai jamais compris l'engouement de ma mère pour la plupart des causes à laquelle elle croit, mais ça me paraît nettement plus concret que ce que mon père adule, un Dieu qui ne fait rien de bon pour lui, et qui le laisse sombrer dans une dépression qui me fout une sainte trouille « Excuse-toi Connor, demande pardon, tout de suite ». Je sais ce qui va se passer. Il le sait aussi. Je suis pas foutu de lui obéir, parce qu'il me fait horreur. Il me fait peur, avant, je le respectais, je l'aimais, je l'adulais. Les conneries d'un gosse qui pense que son père est le plus fort, eh bien, le mien a tôt fait de me montrer qu'il était faible. Si faible qu'il lui fallait s'en prendre à plus faible que lui pour ne pas avoir l'impression d'être un minable. Il lève sa main sur moi, le prêtre la retient. Chaque personne présente retient son souffle, comme si la punition divine devait s'abattre sur moi pour mon sacrilège, mais que le bras de mon père n'était pas digne d'en être la source. Il ne voit pas que, même ici, personne ne croit plus en lui, et que son Dieu ne doit pas faire exception ? « Laisse cette brebis égarée retrouvée son chemin dans Sa voie, Il saura lui offrir salut et réconfort en lui ouvrant Ses bras divins... ». Les doigts de mon père tremble, son regard rivé sur moi est glacé et son oeil droit pulse sous sa paupière, comme chaque fois qu'il est furieux. Il ne contredira pas une autorité divine, même si elle lui demande d'épargner ma connerie. Il pose sa main sur son épaule, serre à m'en faire un hématome, mais je serre les dents. Je ne lui donnerai pas la satisfaction de pouvoir me faire mal. Le prêtre s'éloigne, et je soutire mon épaule de sa poigne. Il m'attrape par le collet, ivre de colère « Si tu crois qu'être mon gamin va te sauver de la honte que tu viens de me foutre, t'es encore plus crétin que je le croyais... ». Oh, je me souviens encore du retour en voiture. Je me souviens surtout d'être arrêter en chemin pour prendre la raclée de ma vie. La cicatrice que j'ai sous l'arcade sourcilière gauche en témoigne encore, et puis j'ai jamais osé retourné dans ce sentier pédestre où il m'a débarqué, sous la pluie battante, pour que je rentre à pied, à moitié aveuglé, boitant à cause des coups. C'est ce soir-là que ma mère a décidé qu'il avait dépassé les bornes, dès que je suis arrivé à la maison, deux heures plus tard, grelottant, pieds nus - j'ai enlevé mes chaussures en route - et le sang qui coulait le long de ma tempe « Je suis tellement désolé bébé, je n'aurais jamais cru qu'il irait jusqu'à te faire du mal... ». J'étais dans la voiture, mes jambes repliées contre moi. Je sais que maman n'aurait jamais pu le prévoir, elle ne voit que le bon dans chaque personne, même dans un être aussi sombre et violent qu'est devenu mon père. Elle glisse ses doigts entre les miens, et je laisse les larmes rouler sur mes joues, les sentant mourir, petites perles salines, au creux de mes lèvres. Je ne dis rien, je veux juste qu'on foute le camp loin, loin, elle et moi. J'veux surtout pas qu'il la touche. J'ai dix ans, je viens de me faire battre par mon père pour la première et dernière fois, et j'ai peur pour ma mère. Parce qu'elle est tout ce que j'ai, et qu'on est tout ce que l'on a...
« T'a envie Connor? Là, tout de suite, dans ta bagnole... » Je dois admettre que m'envoyer en l'air après une course est toujours une putain de belle façon de conclure une nuit, et c'est pas comme si le fait que je sache pertinemment que la blonde ne portait pas la moindre trace de petite culotte sous sa mini-jupe ne m'excite pas le moins du monde. En fait, c'est plutôt le fait que c'est si foutrement évident que je peux me la faire que ça a en perd tout son potentiel aphrodisiaque. J'ai horreur d'avoir le travail mâché, parce qu'il y a de plus en plus de filles faciles, et que ça, c'est vraiment pas marrant. Je déroge mon regard de ses longues jambes sans fin alors qu'elle en passe une par-dessus moi, asseyant ses fesses dénudées contre mon jeans, et puis machinalement, mes mains passent sur ses cuisses, remontent, se pose sur la peau délicate et douce de son cul. Fuck, ça me fait frissonner. J'en ai carrément envie, là, mais non. J'adore voir à quel point je peux me faire violence, quitte à devoir finir ça en solo une fois dans la maison. J'avoue que d'envisager de m'auto-satisfaire à quelques mètres de ma demie-soeur, qui n'a évidemment pas le moindre lien de sang avec moi, ça va de soit, m'excite vachement. Presque autant que le fait que y'a une fille à moitié-nu directement au-dessus de mes bijoux de famille. Putain, ce que je peux être masochiste à la fin « Tu sais quoi, Danni? Je crois que je vais rentrer... ». Elle me regarde, les grands yeux ronds. Ouais, je peux carrément voir tout ce qu'il y a à voir dans son décolleté, je desserre l'étreinte de mes doigts sur le galbe de ses fesses, et je la replace doucement sur le siège passager. Aussitôt, sa main se porte sur ma cuisse, remonte lentement « Tu rigoles là, j'espère? On ne me dit pas non. Pas à moi. Jamais ». Voilà que la tigresse sort les griffes, j'avoue que ça commence à me faire travailler la testostérone. Je stoppe sa main, sourit, puis approche mon visage du sien « Trop peu trop tard, on va se revoir, tu supportes que les vainqueurs, non? J'compte pas céder la première place à un autre taré demain soir... ». Son souffle dans mon visage, j'appuie sur l'accélérateur, le regard toujours rivé dans ses yeux à elle. Je ne la vois pas paniquer, du moins, pas les premiers temps. Quand j'arrête à la lumière, pile sur la ligne, je ris en voyant son expression « Plus envie de jouer, déjà? J'suis déçu... ». Je rallume, fonçant la rendre à son petit coin de ville. Les riches. Dannielynn Ellefsen. Hasta la vista, baby!
« Bordel Travis, tu penses que je vais foutre quoi si tu bidules pas mon putain d'accélérateur. Arrête tes conneries, on s'en fout que tu te tapes Paris Hilton, tu arranges ça avant demain soir, c'est clair? ». Je rentre dans la maison, sans la moindre discrétion, parce que je sais que ma mère s'est surement endormie sur les airs de Deep Purple. Un petit moment de silence me le confirme, et je souris au téléphone, en sachant qu'elle est là, en sécurité, en plein trippe hippie, comme à son habitude. Y'a pas moyen que j'aime plus ma mère. Vient ensuite la grimace quand je vois des chaussures ringardes de mecs dans l'entrée. Je me fais pas à l'idée qu'Esperanza Durden puisse se taper un mec aussi crade et banal que ce con de Bentley « Tu rigoles que je vais rappliquer? Il est trois heures du matin, enfoiré, je vais au pieu. Non putain, j'me tape pas les grognasses du genre d'Ellefsen, même si elles sont torrides. Même toi tu pourrais te la faire, si c'est pas crade ». J'avoue que ma technique ne semble pas être très branchée pour que l'autre con ramène ses fesses et son frère intello pour qu'il répare ma caisse, mais je suis tout ce qu'il a qui puisse le faire rencontrer les gens du milieu, et c'est ça, sa drogue à lui. Moi, c'est l'adrénaline, lui, le simple besoin d'être quelqu'un, ou de le devenir. Pour ça, il a besoin de moi, et tant pis si ça fait de moi le dernier des cons, j'en profite, et j'lui en donne ensuite pour son argent. C'grâce à moi s'il s'est tapé Candice Preston, non? « Je vais me branler sous la douche. Ouais Trav' t'a bien entendu. Tu veux que je te fasse entendre ce que ça à l'air un mec qui a quelque chose à prendre dans sa main gauche? Bon, à demain. 7hoo ? Putain t'es grave. 7hoo piges, j'te balance les clés par la fenêtre, tu croyais quand même pas que j'allais m'lever, hein? Taré, allez salut! ». J'enlève mes Converse, j'retire mes bas, j'enlève ma veste de cuir. Ce que j'ai envie, là, c'est de prendre ma douche. Accesoirement de me vider les couilles, mais ça, ça relève de la suite des évènements. J'ai envie d'en griller une, aussi, ça viendra après. Dans la chambre. Rien que pour agacer Jules, si elle est là...
« FOUS LE CAMP DURDEN! ». J'avoue que je suis pris au dépourvu, là. La clope coincée entre les lèvres, elle pend légèrement alors que je dévisage - et mate grave - le corps de Jules immergé dans l'eau du bain. Sainte Marie, mère de Dieu, ça le fait pas, elle a l'air d'une sirène, avec ses longs cheveux bruns qui flottent autour d'elle dans l'eau parfumée de ces conneries qui sentent la fleur de bergamote et de pamplemousse que ma mère s'achète, qui est bio et équitable et j'sais pas trop quoi d'autres. C'est encore mieux que ce que j'aurais pu imaginer comme conclusion à cette soirée complètement hallucinante. Je jette un regard aux vêtements sur le sol, un short qui peut qu'à peine couvrir son cul et un espèce de corset. Je lève la tête, un léger sourire en coin, haussant un sourcil pour me baisser, attrapant ce qui semble être un format microscopique de ce que serait un string dans ma langue à moi « Tu rigoles qu'un truc pareil peut couvrir le moindre truc de ton anatomie ». Je reçois une bouteille de shampooing par la tête, je lâche un juron « Putain, ça va pas, t'es dingue à la fin ». Je pompe sur ma cigarette, pose mes fesses sur le comptoir. Jules pose ses deux bras sur le rebord du bain, son visage au creux de ceux-ci « Je te rappelle que c'est toi, mon vieux, qui est pas foutu de se ramener une fille qui a quelque chose à faire de ta petite personne ». J'éclate de rire. C'est vrai, c'est presque comme si on avait douze ans et qu'on se battait pour l'affection de nos parents, une rivalité pour être le favori, entre elle et moi. Dans le cas présent, j'avoue qu'elle est mieux foutu qu'une gamine de douze ans. Largement. Foutrement. Putain, comment elle a pu me cacher ça, on partage une chambre, même si on a tous les deux 20 ans et plus. Les moyens du bord, on a pas l'argent ni l'un ni l'autre pour foutre le camp de cet appartement où on est à l'étroit, alors on fait comme on peut. J'me plaindrai plus jamais d'mon sort. Plus jamais. Je me redresse, m'accroupit près du visage fin de Jules et lui envoie une bouffée de fumée en plein gueule « Parce que je parie que tu rêves de voir à quel point j'peux faire l'amour à une fille comme toi, t'a jamais été baisé Bentley ». Je lui adresse un sourire, passe la langue sur mes lèvres, puis me redresse. Ça s'agite dans la baignoire, j'entends qu'un seul mot « Connor? ». Je me retourne que ses mains s'accrochent à mon bras et, pris au dépourvu, je perds pied pour tomber directement dans l'eau savonneuse et parfumée du bain. Je bois une tasse. J'émerge, mes yeux me piquent, j'suis pas foutu de les ouvrir « Garce » « Crétin » « Idiote » « Connard ». J'attrape une débarbouillette pour m'essuyer les yeux, puis je réalise qu'elle est nue. Que j'suis dans son bain. Que... « Jules » « Quoi? » « La ferme ». J'lui laisse pas le temps de répondre que je passe ma main sous son oreille, jusqu'à sa nuque, et je l'embrasse, m'accroche à ses lèvres comme un malade, me presse contre elle, attire son corps contre le mien. Elle enroule ses jambes autour de ma taille, y'a d'l'eau qui s'en va partout, je m'en fiche, tout ce que je veux, c'est la prendre. Carrément. Simplement. Aussi vulgaire que ça le semble d'le dire. J'sais pas comment elle réussit à m'arracher mes vêtements sans que j'cesse de goûter ses lèvres. Je passe ma main partout dans son dos, sa poitrine écrasée contre mon torse, ses mains qui se fourrent dans mes cheveux, qui descendent jusqu'à mon bas-ventre. J'en ai perdu la raison. Y'avait plus rien d'autres qui avait d'importance qu'elle, dans ce putain de cocon qui sentait le pamplemousse. J'sais pas combien de temps on est resté là, à s'envoyer en l'air et à recommencer l'instant d'après. Je crois qu'on s'est endormi d'épuisement, ce serait pathétique si j'avais pas autant pris mon pied...
« Bébé? Connor? C'est toi? ». J'émerge de mon sommeil, mouillé, la tête de Jules sur mon torse, sa main beaucoup trop basse pour que ce soit décent. La voix de ma mère résonne de nouveau « Connor, il est presque huit heures. Il faut que je me douche si j'veux pas arriver en retard ». Oh putain de merde. PUTAIN DE MEEEEEEEEEEEEEERDE « Minute maman, j'sors ». Je peux pas m'empêcher de relever le menton de Jules pour l'embrasser, elle s'agite, et puis j'comprends après que c'est plus le temps. On est dans une foutu, une putain de galère. J'avoue que mes mains ne semblent pas le concevoir, parce que j'les passe partout sur le corps de la brunette pour la tirer du sommeil « On est mal, Bentley, pour de vrai. T'a succombé à mon charme, et là, tu m'as tellement épuisé qu'on est sur le point de se faire prendre sur le fait par ma mère. Un plan pour sauver nos derrières? ». Je remercie Dieu d'avoir permis aux femmes d'avoir un état d'éveil décent après une nuit d'explosion de plaisir si foutrement intenses, parce que vu qu'elle est toute menue, elle peut se cacher sous l'évier, où on sort et planque, dans un temps record, les conneries qu'on y cache, normalement. Elle a tout ses trucs, mais lève les yeux vers moi avant que je ferme les portes « Elle est où, ma petite culotte? ». Je souris, la sortant de ma poche, mais évitant sa main qui tente de la reprendre « Ça, Bentley, c'est mon trophée. La preuve que t'a pas su m'dire non... ». Je l'entends m'traiter d'tous les noms jusqu'à ce que je balance un petit coup de pied dans la porte, pour ouvrir à ma mère « Un bain, Connor? ». Je hausse les épaules, un sourire que j'peux pas taire qui flotte sur mes lèvres, j'embrasse la joue de ma mère et j'me retire « Toi, tu me caches quelque chose » qu'elle me crie, de la porte, avant de la fermer, sur elle et Jules. Putain j'me marre en me glissant entre mes draps, le bras sous ma tête. Oh ouais, maman, j'te cache un boulet de canon. Je viens de me faire pendant des heures la fille de ton copain, et si son père a la moitié de sa souplesse, je jure que je comprends, maintenant, pourquoi tu supportes le mec en général...
• JUST FACULTATIVE
Avez-vous connu Jon Aldridge ? : En fait, je ne peux pas dire qu'on était les meilleurs potes du monde, mais j'ai eu l'occasion de faire sa connaissance, à cause d'amis communs. J'aurais jamais pu concevoir qu'un mec qui paraissait si bien puisse être atteint d'un si profond malaise. Ma mère m'avait demandé d'offrir mes condoléances à sa famille, en guise de respect, et je l'ai fait. C'est bien la première fois que j'écoutais sans rechigner les conseils de ma mère, mais dans le cas d'Aldridge, c'était nécessaire. J'suis enfant unique, j'peux pas comprendre ce que c'est de perdre son frère, mais putain de merde, ça doit pas être facile, et même moi j'peux me figurer ça, même si j'suis con.
Pensez-vous qu'on puisse aimer deux personnes en même temps ? Je crois que l'on donne trop d'importance à ce que c'est, aimer. Je crois que sans les conneries de contes de fée, on devrait pas se coltiner des heures de bavardage avant de pouvoir s'envoyer en l'air. Si on finit par avoir envie de connaître quelqu'un pour de vrai, c'est qu'il y a quelque chose qui pousse à ce que l'on veuille aller voir plus loin. Pas une connerie romanesque, non, un truc chimique, physique, de l'attirance. Et puis l'attirance, ça va comme ça vient, et ça n'a pas la limite d'un espace tout riquiqui dans le creux d'une poitrine. Fort heureusement, d'ailleurs, parce que je suis de ceux qui sont attirés ça et là, à gauche et à droite, et je n'ai pas envie de focusser sur une seule personne. La vie est trop courte, mes amis.
Votre citation préférée et pourquoi ? "On est les enfants oubliés de l’histoire mes amis. On n’a pas de but ni de vraie place. On n’a pas de grande guerre, pas de grande dépression. Notre grande guerre est spirituelle, notre grande dépression c’est nos vies ". J'avoue être un fanatique fini de Fight Club et des trucs de fous qu'ils nous sortent dans ce film-là, sauf que cette phrase-là, elle est tatouée dans ma tête, j'peux pas l'oublier. C'est juste trop vrai, c'est exactement ce que l'on est, nous, la génération sur laquelle on compte pour sauver le monde, mais à laquelle on reproche tous les vices de la société. Faut traverser les emmerdes et ne pas broncher quand on nous fout une pression monstre sur la tête. Eh bien, FUCK ceux qui nous lèguent un truc qu'ils sont pas foutus de faire eux mêmes. Moi, je veux vivre ma vie, pas avoir à me soucier indéfiniment de celles des autres, autres d'aujourd'hui ou de demain. Et puis merde si ça fait de moi un égoïste, au final...
• WHAT I AM
pseudo : Emmecie
âge : 20-1 ans
avatar : Ian Somerhalder
comment avez-vous connu R•M ? : j'suis une incorrigible lectrice des pubs de bazzart (x
Dernière édition par Connor Durden-Fairchild le Dim 20 Juin - 17:14, édité 9 fois | |
| | | | Connor Durden-Fairchild
JESUS! are you going to tell me what’s going on? it’s like a fucking episode of The OC
• Messages : 83
• Pseudo : Emmecie
• Copyright : Aurelie
• I DON'T WANT TO MISS A THING
• EMPLOI: au chômage le jour, sur les pistes de nuit
• ÂGE DU PERSONNAGE: 25 ans
• CONTACTS:
| | Sujet: Re: TERMINÉ - CONNOR • things you own end up owning you Dim 20 Juin - 0:21 | |
| Est-ce qu'on peut me réserver Ian Somerhalder  ? | |
| | | | A. Jules Winans-Bentley
• Messages : 40
• Age : 32
• Pseudo : mymz.
• Copyright : cristalline (avatar). livejournal (sign)
• I DON'T WANT TO MISS A THING
• EMPLOI:
• ÂGE DU PERSONNAGE: 22 ans.
• CONTACTS:
| | Sujet: Re: TERMINÉ - CONNOR • things you own end up owning you Dim 20 Juin - 0:22 | |
| | |
| | | | Sacha Aldridge
SOMEONE LIKE YOU ♦ Off in the night while you live it up I'm off to sleep
• Messages : 185
• Age : 35
• Pseudo : Ally Bee
• Copyright : Cristalline & Livejournal
• I DON'T WANT TO MISS A THING
• EMPLOI: Étudiant
• ÂGE DU PERSONNAGE: 24 ans
• CONTACTS:
| | Sujet: Re: TERMINÉ - CONNOR • things you own end up owning you Dim 20 Juin - 0:23 | |
| Bienvenue, j'ai réservé  | |
| | | | Connor Durden-Fairchild
JESUS! are you going to tell me what’s going on? it’s like a fucking episode of The OC
• Messages : 83
• Pseudo : Emmecie
• Copyright : Aurelie
• I DON'T WANT TO MISS A THING
• EMPLOI: au chômage le jour, sur les pistes de nuit
• ÂGE DU PERSONNAGE: 25 ans
• CONTACTS:
| | Sujet: Re: TERMINÉ - CONNOR • things you own end up owning you Dim 20 Juin - 0:27 | |
| Roblochon  Gracias ! & Jules, watch ton ass, there will be blooooooooooooooood  | |
| | | | Invité
Invité
| | Sujet: Re: TERMINÉ - CONNOR • things you own end up owning you Dim 20 Juin - 0:30 | |
| |
| | | | Invité
Invité
| | Sujet: Re: TERMINÉ - CONNOR • things you own end up owning you Dim 20 Juin - 0:31 | |
| AH IAN. Bienvenue. |
| | | | A. Jules Winans-Bentley
• Messages : 40
• Age : 32
• Pseudo : mymz.
• Copyright : cristalline (avatar). livejournal (sign)
• I DON'T WANT TO MISS A THING
• EMPLOI:
• ÂGE DU PERSONNAGE: 22 ans.
• CONTACTS:
| | Sujet: Re: TERMINÉ - CONNOR • things you own end up owning you Dim 20 Juin - 0:36 | |
| Tu m'aimes tellement, fiou BEE & WOODROW, JE MORDS, TELLEMENT, TELLEMENT, TELLEMENT FORT. | |
| | | | Connor Durden-Fairchild
JESUS! are you going to tell me what’s going on? it’s like a fucking episode of The OC
• Messages : 83
• Pseudo : Emmecie
• Copyright : Aurelie
• I DON'T WANT TO MISS A THING
• EMPLOI: au chômage le jour, sur les pistes de nuit
• ÂGE DU PERSONNAGE: 25 ans
• CONTACTS:
| | Sujet: Re: TERMINÉ - CONNOR • things you own end up owning you Dim 20 Juin - 0:37 | |
| MIMIMIMISCHAAAAAAAAAAAAAAA & ashgreene  oh les putain de déesses, RÉSERVEZ-MOI UN LIEN QUI DÉCHIRE SA RAAAAAAACE | |
| | | | Invité
Invité
| | Sujet: Re: TERMINÉ - CONNOR • things you own end up owning you Dim 20 Juin - 0:38 | |
| Volontiers.  |
| | | | Invité
Invité
| | Sujet: Re: TERMINÉ - CONNOR • things you own end up owning you Dim 20 Juin - 0:41 | |
| |
| | | | Connor Durden-Fairchild
JESUS! are you going to tell me what’s going on? it’s like a fucking episode of The OC
• Messages : 83
• Pseudo : Emmecie
• Copyright : Aurelie
• I DON'T WANT TO MISS A THING
• EMPLOI: au chômage le jour, sur les pistes de nuit
• ÂGE DU PERSONNAGE: 25 ans
• CONTACTS:
| | Sujet: Re: TERMINÉ - CONNOR • things you own end up owning you Dim 20 Juin - 0:44 | |
| WOODROW - purée qu'est-ce que ça déchire  - je veux un lien au chaud chaud. je résiste pas aux brunettes  . BEE. eh bien si t'aime le genre sadique, je peux ne pas être tout à fait gentil non plus | |
| | | | A. Jules Winans-Bentley
• Messages : 40
• Age : 32
• Pseudo : mymz.
• Copyright : cristalline (avatar). livejournal (sign)
• I DON'T WANT TO MISS A THING
• EMPLOI:
• ÂGE DU PERSONNAGE: 22 ans.
• CONTACTS:
| | Sujet: Re: TERMINÉ - CONNOR • things you own end up owning you Dim 20 Juin - 0:46 | |
| Si tu veux faire dans le sadisme, je m'y adonnerais avec plaisir. Tu sais pas c'que j'serai capable de faire pour mon homme  | |
| | | | Invité
Invité
| | | | | Invité
Invité
| | | | | Birdie Lawson
• Messages : 115
• Pseudo : Miss uncertain.
• Copyright : Castiells.
• I DON'T WANT TO MISS A THING
• EMPLOI: Etudiante en Psychologie.
• ÂGE DU PERSONNAGE: 17 ans.
• CONTACTS:
| | | | | A. Jules Winans-Bentley
• Messages : 40
• Age : 32
• Pseudo : mymz.
• Copyright : cristalline (avatar). livejournal (sign)
• I DON'T WANT TO MISS A THING
• EMPLOI:
• ÂGE DU PERSONNAGE: 22 ans.
• CONTACTS:
| | Sujet: Re: TERMINÉ - CONNOR • things you own end up owning you Dim 20 Juin - 0:56 | |
| J'sens que j'vais commettre des meurtres (a)
| |
| | | | Connor Durden-Fairchild
JESUS! are you going to tell me what’s going on? it’s like a fucking episode of The OC
• Messages : 83
• Pseudo : Emmecie
• Copyright : Aurelie
• I DON'T WANT TO MISS A THING
• EMPLOI: au chômage le jour, sur les pistes de nuit
• ÂGE DU PERSONNAGE: 25 ans
• CONTACTS:
| | Sujet: Re: TERMINÉ - CONNOR • things you own end up owning you Dim 20 Juin - 6:43 | |
| WOODROW. J'y verrai, crois-moi Merci Birdie, en passant, ton avatar est sublime! Fiche terminée, j'espère que ça ira  | |
| | | | Invité
Invité
| | | | | Connor Durden-Fairchild
JESUS! are you going to tell me what’s going on? it’s like a fucking episode of The OC
• Messages : 83
• Pseudo : Emmecie
• Copyright : Aurelie
• I DON'T WANT TO MISS A THING
• EMPLOI: au chômage le jour, sur les pistes de nuit
• ÂGE DU PERSONNAGE: 25 ans
• CONTACTS:
| | Sujet: Re: TERMINÉ - CONNOR • things you own end up owning you Dim 20 Juin - 17:14 | |
| Han, j'adore ton ava  La fiche est terminée les gens | |
| | | | Invité
Invité
| | Sujet: Re: TERMINÉ - CONNOR • things you own end up owning you Dim 20 Juin - 17:17 | |
| |
| | | | Connor Durden-Fairchild
JESUS! are you going to tell me what’s going on? it’s like a fucking episode of The OC
• Messages : 83
• Pseudo : Emmecie
• Copyright : Aurelie
• I DON'T WANT TO MISS A THING
• EMPLOI: au chômage le jour, sur les pistes de nuit
• ÂGE DU PERSONNAGE: 25 ans
• CONTACTS:
| | Sujet: Re: TERMINÉ - CONNOR • things you own end up owning you Dim 20 Juin - 17:18 | |
| oh my, PURÉE DE POIIIIIIIIIIIIIS Sophiaaaaaaaaa évidemment, j'te garde un lien bien au chaudddd (aa) | |
| | | | Invité
Invité
| | | | | Invité
Invité
| | | | | Connor Durden-Fairchild
JESUS! are you going to tell me what’s going on? it’s like a fucking episode of The OC
• Messages : 83
• Pseudo : Emmecie
• Copyright : Aurelie
• I DON'T WANT TO MISS A THING
• EMPLOI: au chômage le jour, sur les pistes de nuit
• ÂGE DU PERSONNAGE: 25 ans
• CONTACTS:
| | | | | Contenu sponsorisé
| | Sujet: Re: TERMINÉ - CONNOR • things you own end up owning you | |
| |
| | | | | | TERMINÉ - CONNOR • things you own end up owning you | |
|
Sujets similaires | |
|
| | Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
Accueil 
* 
