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 i feel homesick when i'm not IN you - feat Jules

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Connor Durden-Fairchild
JESUS! are you going to tell me what’s going on? it’s like a fucking episode of The OC
Connor Durden-Fairchild


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MessageSujet: i feel homesick when i'm not IN you - feat Jules   i feel homesick when i'm not IN you - feat Jules Icon_minitimeLun 21 Juin - 6:00


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girl I'm asking could you be my queen?


    « T'es con mon vieux, tu crois que Mercy voudrait que j'te prête sa caisse? ». Je sais pas ce qu'est venu foutre Caeden chez moi, à cette heure, mais je devine que c'était pas pour mes beaux yeux. Cependant, je venais déposer un truc à la maison avant de partir pour la banlieue, pour la course de ce soir. C'est prendre un risque que d'amener la bagnole ici, mais je pouvais pas faire autrement, ma mère m'aurait tué si j'avais pas ramené ses fleurs en vie de l'endroit où j'devais aller les prendre, cette après-midi, et si Mercy a le malheur de savoir que j'ai embarqué un truc qui contient de la terre dans sa voiture, j'suis cuit. Remarque, j'adore la manière qu'elle a de vouloir me faire pénitence, parce que souvent, c'est elle qui tient plus et qui me revient. J'adore être moi, putain, totalement. Il caresse le capot de la voiture, j'avoue qu'elle a de la gueule, ma caisse. J'ai pas laisser n'importe qui y mettre n'importe quoi, chaque truc qui se trouve là, sous le capot, du moteur au modèle des roues, j'ai tout choisi, avec Mercy. Pas moyen qu'elle me laisse faire ça tout seul, mais bon, j'irai pas m'plaindre, jamais. C'est pas pour rien que ce mec est mon meilleur pote, et le fait que je me suis tapé sa petite amie n'y change rien. Les copains avant les meufs, c'est une règle non-écrite, ça « Tu te tapes Mercy, c'est pas comme si elle pouvait te refuser quoi que ce soit, tu lui rapportes tellement de thunes ». Je souris, haussant les épaules, refermant le capot d'la voiture, prenant attention à pas écraser les doigts de Caeden, ce serait pas sympa du tout « Je te la prêtes quand tu veux, mais derrière le volant de ma caisse, y'aura jamais que moi, pote ou pas, compris? ». Un mensonge pieu. Y'a que la brunette qui tient le garage qui s'est donné un véto pour que j'lui apprenne à conduire. J'le fais, parce que je me suis dit qu'elle le demanderait à des mecs moins doués si j'disais non, mais j'ai pas la moindre envie que Mercy prenne un risque. Faut pas croire les apparences, je suis pas amoureux d'elle, mais ce n'est pas dans mes intérêts qu'elle se prenne le fossé, voilà tout « BORDEL CONNOR. Tu me dois bien ça, non ? ». Je ne sais pas ce que ça veut dire, mais comme je n'ai pas l'intention de me faire prendre à mon propre jeu, je me contente d'hausser les épaules et de le faire légèrement reculé, m'imposant légèrement devant lui « Au nom de quoi j'te devrais un truc pareil. T'es mon pote, Caeden, pas ma mère ». Il se redresse, lui aussi. C'est drôle, on est constamment en compétition pour tout, lui et moi, allez savoir pourquoi « Au nom de notre amitié, peut-être... ». J'lui balance un coup d'épaule, j'le fais reculer, et j'prends le large vers la portière côté conducteur. J'appuie mon coude sur le dessus d'la voiture, et puis j'lui souffle, en souriant « L'ami que je suis te dit d'aller te faire foutre, ou d'aller le faire avec ta petite amie qui t'attend dans notre chambre, vêtement pas vêtement, tu sais t'y prendre, non? ». J'allume le moteur, puis à sa hauteur, baisse la vitre, un sourire amusé aux lèvres « Bonne soirée, vieux. Fais lui prendre son pied, elle le mérite, tu la fais attendre ». J'sais pas quelle connerie il me balance alors que je démarre en trombe, en route pour le garage, mais j'allume la radio et je fais résonner Eminem à fond la caisse. Loin derrière moi, les jambes douces de Jules, l'air renfrogné de Caeden, les géraniums de ma mère et les chaussures à rabais de mon beau-père. Ce soir, il y en a pour moi, pour cette caisse, pour l'argent que j'vais gagné et la baise mémorable que ça va me faire mériter.

    Putain de merde, pas croyable. Le pactole qu'on a réussi à faire ce soir, j'ai des billets plein les poches, et ça, c'est que ma partie à moi. Je crois que j'ai jamais vu Mercy aussi ivre de bonheur, ça, et la bouteille de champagne qu'on a ouvert au garage. On s'est pas envoyé en l'air, en fait, je tremble encore de l'adrénaline. Une voiture a pris feu, ils ont réussi à tirer le conducteur in extremis avant que ça explose. On s'est tiré rapidement avant que la police vienne faire son rapport, mais c'était déjà gagné. J'ai simplement profité de la candeur de ses mouvements alors qu'elle retirait le moindre de ses vêtements, posant ses fesses pour l'énième fois sur le capot de la caisse. Ça doit être elle qui porte une veine pas croyable à ma voiture. À notre voiture. Je rentre avec ma Golf City. La fait vrombir dans les quartiers résidentiels, sachant pertinemment que ça pourrait m'attirer des emmerdes, mais je suis de trop bonne humeur pour m'en soucier. Je débarque dans le stationnement, sort une bouteille de vermouth entamé de la voiture, en prend une longue lampée avant de m'essuyer la bouche avec le revers de ma manche, remontant une à une les escaliers menant à mon appartement. Celui de ma mère, en fait, mais je travaille pour en trouver un à moi, où je pourrai me taper des filles 24/7 si j'ai envie, parce que j'devrai pas me coltiner de colocataires. J'entre pour vouloir crier à ma mère ma joie, mais elle est pas là. Un week-end avec Bentley. Toute façon, lui, il comprendrait rien. Je cours la nuit, c'est ma passion, c'est mon boulot, c'est ce que j'ai envie de faire, point barre. Un tas de bouteilles se trouvent sur la table de cuisine, je devine que Jules s'est mise en tête de picoler. Je retire mon shirt et mes jeans, les balance dans le panier à linges. Je sais pas comment je vais réussir à dormir, alors je me déplace jusqu'à ma chambre, prenant une gorgée de vermouth que... « BORDEL DE MEEEEEEEEERDE » que je dis en recrachant le liquide. Jules étendue, nue, contre Caeden. D'accord, outre le fait qu'ils sortent ensemble, ils viennent de s'envoyer en l'air dans MA chambre. C'est dégueulasse. Je me retourne en fermant la porte plus fort que je l'aurais voulu, à la base « C'est une putain de blague que j'peux même pas picoler dans mon lit parce que l'autre conne se fait tirer un coup par mon pote, c'est un foutu foutoir de meeeeeeeeeerde ». Je m'assois sur le canapé, m'envoie une autre gorgée de vermouth. Les yeux rivés sur la chambre. C'est drôle, non seulement ça m'agace, mais ça m'gave comme si j'concevais pas qu'elle puisse avoir envie d'lui après m'avoir eu moi. Les femmes, ces garces...
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A. Jules Winans-Bentley

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MessageSujet: Re: i feel homesick when i'm not IN you - feat Jules   i feel homesick when i'm not IN you - feat Jules Icon_minitimeLun 21 Juin - 10:14

i feel homesick when i'm not IN you - feat Jules 25aj9sx
If only I could see
You turn myself to me and recognise the poison in my heart
There is no other place, no one else I face
Remedy, we'll agree, is how I feel, here in my reflecting
What more can I say ? for I am guilty for the voice that I obey
Too scared to sacrifice a choice chosen for me
Qu’est-ce qui m’a pris de dire à ce foutu client de merde qu’il pouvait me rappeler s’il avait des problèmes. Maintenant il arrête pas de faire sonner mon putain de téléphone pour tenter de voir si j’vais répondre à ses avances salaces. J’lui ai dit que j’avais un copain – que j’ai accessoirement trompé avec son meilleur ami, mais c’est qu’un détail – et que j’voulais pas le décevoir, quoi que j’ai menti sur cette partie parce que c’est déjà fait indirectement. Bref, j’veux pas avoir une deuxième relation extraconjugale. On m’a pas élevé pour que j’trompe les gens que j’aime, même si cette notion me donne parfois envie de vomir. Les rares personnes que j’laisse se croire importants à mes yeux sont ceux qui pourraient éventuellement m’apporter quelque chose. Peut-être comme Tamara. La meilleure amie de Connor. Logiquement, elle devrait aussi connaître Caeden, mais je sais pas si c’est le cas parce que j’les vois jamais en même temps. Quoi qu’il en soit, y’a elle et d’autres dont j’me souviens pas trop les noms. Faut que j’me concentre pour pas perdre les nerfs au téléphone. Plus loin, y’a Sid qui se fout de ma gueule grave et qui parle à je sais pas qui prétendant de travailler. J’ai envie de la broyer, mais elle je l’aime pour de vrai alors je peux pas. « Va chier Sidney, si tu crois que j’te le rendrai pas après… » Dis-je en bouchant les trous du téléphone filaire au niveau où on peut entendre ma voix à l’autre bout. Cet enfoiré de loser va m’le payer cher à me faire perdre mon temps. « Bon écoutez monsieur, c’est la dernière fois que j’vous le dis, je ne suis pas intéressée. Bordel, la société d’aujourd’hui comprend plus ou quoi ? » J’raccroche, claquant le combiné sur le support. J’me lève et marche jusqu’au bureau de Sid. J’fais des grimaces pour la faire rigoler. Elle a l’air bien occupée avec son contact téléphonique, mais je m’en fous. J’adore la faire sortir de ses gonds, après elle veut me foutre des coups et vu que Jenkins a des vues sur moi, il me défend chaque fois. Elle me fait rien et me menace de me laisser derrière après le boulot. Ma putain de voiture est au garage depuis un moment et faut que j’amasse assez de blé pour la récupérer.

« Va falloir passer à la pharmacie avant. J’ai besoin d’un nouveau paquet de capotes. » Sid éclate de rire et soupire à la fois. Elle apprécie Caeden mais me répète sans arrêt que Connor est plus chaud et que j’devrais tenter de me le faire. Elle comprend pas que dans le langage des mecs, un gars peut pas coucher la meilleure ami de son meilleur pote. Ou, peut pas la lui voler, ou quoi que ce soit qui y ressemble. Elle s’en tape, c’pas comme si elle avait des attaches à qui que ce soit, et c’pas comme si elle était coincée comme moi. Putain, j’vis avec le meilleur ami de mon copain qui m’a dernièrement sauté dans le bain de l’appart où on vit. Le Destin essaie clairement de me faire passer un message. En plus de Caeden qui s’en fait tout le temps pour ça et moi qui le rassure sans arrêt. J’vais avoir l’air d’une grosse salope quand tout ça va m’éclater au visage. « Caeden et toi ça y va dis donc ! » Elle est conne, tellement conne. Je la traite souvent – très souvent – de blonde, et c’est exactement pour ce genre de commentaire. « Caeden, ouais… » Connor plutôt. Ça y va trop fort avec Connor. On l’a fait qu’une fois et merde, j’pensais sérieusement pouvoir me débarrasser de cette pensée. J’aurais dû être foutrement saoule, ça m’aurait déjà moins dérangé… mais que dalle, j’avais rien, j’étais parfaitement consciente de mes agissements. « Grouille-toi, j’veux rentrer. » « Pour aller te taper ton coloc, grosse cochonne. » Elle me lance un regard noir et je souris, montrant mes 32 dents. Je descends rapidement et m’empresse d’acheter le size qu’on utilise d’habitude, Caeden et moi. Il m’a dit qu’il passerait par l’appart, même si on est en froid depuis 2 jours. Je sais comment ça va se finir, parce que c’est toujours la même chose. Une fois payé, le paquet de capotes entre dans mon sac et je sors de la pharmacie, la tête haute. Il est tard, on s’en fout de qui m’a vu, puis on est dans un pays libre et je suis majeure, alors ? J’entre dans la voiture de Sidney, elle monte le volume au maximum quand y’a Machine Gun de Portishead qui passe comme chanson sur l’un des CDs qu’on s’est fait. On fait du bruit, mais on s’en tape. On risque de se faire avertir, mais encore une fois, on en a rien à cirer…

On arrive devant mon édifice. « On s’voit demain, bonne baise ! » Elle fait exprès ou quoi ? J’lui fais un doigt d’honneur. « À toi aussi ! » Elle perd le sourire niais qu’elle avait sur le visage y’a deux secondes, j’ferme la portière et elle déambule de nouveau dans la rue sombre appartenant à cette foutue ville. J’rentre dans l’appart, y’a personne apparemment. Sinon, les parents auraient déjà parlé. « Hey… » Caeden apparaît peu de temps après moi. Il s’approche et me serre dans ses bras. S’excusant de son attitude de merde ces derniers temps. Évidemment, je me laisse amadouer et faire par lui. Il me touche, et ça me donne des frissons. De désir, mais surtout de peur. Je l’embrasse, il m’empêche de décoller mes lèvres jusqu’à temps qu’on ait de nouveau besoin d’oxygène. Y’a des bouteilles d’alcool qui traînent par là, j’les ai acheté y’a quelques jours. On en calle plusieurs en riant et en faisant des trucs plus ou moins catholiques. Préliminaires obligent. On se retrouve rapidement dans la chambre que je partage avec son meilleur ami, et j’me dis que pour le faire chier – surtout parce qu’il a pas voulu me rendre mon string – j’vais le faire juste à côté de l’endroit où il dort. Peut-être que ça le dégoûtera assez pour qu’il dorme sur le sofa… « Han, babe, fuck… » J’me surprends à gémir un peu trop fort quand Caeden entre en moi d’un élan de bassin sec. Il donne plusieurs coups de vas-et-viens, on est complètement bourrés, alors toutes les sensations ressenties sont décuplées. Il entremêle nos doigts et je serre mes jambes autour de sa taille. J’ai chaud, bon Dieu, et j’peux pas m’empêcher de penser qu’avant-hier j’me suis fait son meilleur ami, dans la même position, dans la salle d’à côté. J’ai honte mais… « BORDEL DE MEEEEEEEEERDE » Fucking shit, quel enfoiré de gâcher mon moment comme ça. Il sort de la chambre en râlant comme un enfant de quatre ans. « Ferme ta gueule Connor ON BAISE QUAND ON VEUT, OÙ ON VEUT. » J’entends Caeden rire contre mes lèvres et on change de position. Je me mets au dessus et rythme accélère, en restant doux à la fois. Je fais exprès de gémir plus fort, mais pas seulement parce que je veux faire chier Connor, aussi parce que Caeden me manque pas en effectuant tous ses mouvements. Qu’est-ce que c’est bon, merde !
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Connor Durden-Fairchild
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MessageSujet: Re: i feel homesick when i'm not IN you - feat Jules   i feel homesick when i'm not IN you - feat Jules Icon_minitimeMar 22 Juin - 6:02


    J'avoue que je reste avachi sur le sofa durant de longues minutes avant de mettre le doigt sur ce que je viens de voir. Non, c'est pas la première fois que je vois une fille nue. Non, c'est même pas la première fois que je vois CETTE fille-là nu, mais là, c'est un contexte beaucoup moins agréable pour ce qui se trouve entre mes jambes, là, maintenant. J'avale une gorgée de vermouth, et lâche un putain de gros mot. Je vois pas pourquoi ça me travaille comme ça, putain, Caeden peut bien prendre qui il veut, mais pas elle, surtout pas chez moi. Dans mon appartement. Celui de ma mère. Dans ma chambre. Celle que je partage avec Jules. L'emprise de mes doigts sur la bouteille se resserre, et j'commence à avoir peur de la faire éclater tant j'suis tendu. L'alcool y change rien, je peux pas supporter les cris que l'autre pétasse lance de plus en plus fort, comme pour me jeter au visage que c'est pas avec moi qu'elle prend son pied. Je crois qu'elle cesserait raide de faire son intouchable baiseuse de mes deux si j'lui rappelais que c'est en me mordant et me griffant le dos qu'elle a réussi à retenir ses plaintes et ses gémissements. Mon corps en porte encore les traces, et j'ai du expliquer la chose non seulement à Mercy, avec qui je préfèrerais mille fois être présentement que de m'imaginer Caeden qui prend Jules par-derrière, au moins, c'est moi qui tirerait mon coup, et puis avec Mercy Pendleton, c'est plus chaud, plus torride chaque fois, mais également à Tamara. Ça a été moins gay. D'accord, mon associée s'est simplement marrée du fait que je sois un parfait con, mais elle le savait déjà. J'ai du décevoir ma meilleure amie, mais j'le fais si souvent que je ne m'émeus plus. Ça sert à rien, même si je voulais avoir l'air digne et civilisé, ça serait juste une putain de mauvaise blague. Je suis un personnage grossier, vulgaire, qui prend sans jamais rendre la pareille. Un mauvais garçon. Un mauvais parti. Un attrait irrésistible sur tout être de sexe féminin qui rêve d'une aventure sans lendemain qui ne s'étend pas en de longues récriminations et discutions. Du sexe pour du sexe. Du cul pour du cul. Point barre « Ferme ta gueule Connor ON BAISE QUAND ON VEUT, OÙ ON VEUT ». Je calle la bouteille pour m'effacer les mots de Jules de la tête. Ça, et puis j'ouvre la télévision avec le volume au maximum. Tant pis si c'est une connerie de ce petit pédé de quinze ans qui pense jouer dans la cour des grands avec sa musique de merde. C'est toujours mieux que les murs qui tremblent et les cris de Jules. Je parie qu'elle le fait exprès, l'agace. Je me demande ce que j'attends, vraisemblablement, pour dire à Caeden à quel point les prouesses, la flexibilité et la souplesse de sa copine sont bonnes quand on sait les mettre à profit. En clair, mon vieux, ta copine, bordel, c'qu'elle est bonne. Ce serait tellement, tellement facile. D'accord, s'en suivrait une période creuse où il m'en voudrait, mais on se retrouverait. Caeden et moi, on se retrouve toujours.

    « Tammy? Tu veux bien me porter assistance, y'a des gens qui font des trucs pas catholiques juste à côté ». Je l'entends rire au bout du fil. Elle me pose la question pourquoi le son de la télévision est aussi fort. Je lui répète que j'ai pas envie d'entendre Caeden s'envoyer en l'air « C'est le fait que ce soit avec Jules qui t'agace, hein? Me ment pas, coco, j'le saurai si c'est le cas ». Je ferme ma gueule pendant quelques secondes, ce qui est un exploit en soi, parce que j'arrête jamais, vraiment vraiment jamais « Tu m'aides pas là, pas plus que la bouteille que je viens de m'enfiler. Sois gentille, tu veux? ». Nouveau ricanement, en tout cas, je préfère de loin écouter la voix de ma meilleure amie que ses gémissements et lui qui scande son nom. Putain, qu'est-ce qu'ils sont effrontés! J'me lève, d'un coup, puis je vais sur le balcon, regardant la voiture de Caeden juste en-dessous. Un sourire prend naissance à la commisure de mes lèvres, et puis j'émets un petit rire « Je connais ce rire, qu'est-ce que tu fous Conn... ». Un énorme BANG résonne. La bouteille vide a éclaté sur le capot de la voiture. Moi, je le sais, Caeden, pas encore. Trop de bruit. Trop d'échos. Trop de vas et vient. Mon pote va avoir une surprise lorsqu'il se sera vidé en elle, rien de moins « Qui ça, moi? Rien, rien du tout. J'fais rien de mal ». S'en suit un court silence, où elle ne dit rien. Je retourne à l'intérieur, passe la main sur mon ventre, puis attrape une nouvelle bouteille. Jl'approche pour voir de quoi il s'agit. Du Jack Daniel's, parfait. J'en prends une longue lampée, y'en a plein qui coule sur mon torse. Tant pis « Fais pas le con, du moins, pas trop ». Il est déjà trop tard. Personne se moque de Connor Durden, pas même une fille assez bien roulée pour que je lui sois déjà passé dessus et un mec qui se prétend mon meilleur pote. La bouteille entre les doigts, j'me rends dans la chambre de ma mère et je sors une caméra. Kutcher va devoir se rhabiller avec son émission de merde qui passe à MuchMusic. J'ai une bouteille, que je cale de nouveau, puis j'entreprends de remplir un seau d'eau glacée. J'y fourre du Jack, pour l'arôme. Si c'est pas délicat. Je m'approche de la chambre, pose mon oreille sur la porte, fais mine d'avoir la nausée puis l'ouvre en trombe. La caméra entre les doigts, je déverse le contenu froid comme la banquise sur des couvertures qui se mouvent au rythme des mouvements de hanches de l'un ou l'autre « Vous êtes chez moi, alors on ne m'exclut pas des petits jeux et d'vos baises de minables, levez-vous et qu'on boive, diantre! ».
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MessageSujet: Re: i feel homesick when i'm not IN you - feat Jules   i feel homesick when i'm not IN you - feat Jules Icon_minitimeMar 22 Juin - 9:08

J’emmerde Connor et ses habitudes merdiques qui me pourrissent la vie depuis qu’on a emménagé dans ce foutu appartement. Il croit que je vois pas toutes les salopes qu’il ramène je sais pas trop quand ou qu’il se tape à même dans sa voiture. C’est dégoûtant, mais pourtant j’peux pas m’attendre à autre chose parce que depuis que je le connais, il est comme ça. C’est certainement pas demain qu’il commencera à changer. J’ai souri quand il s’est retourné et qu’il a sûrement décider d’aller s’affaler sur un des sofas dans le salon. Caeden s’et esclaffé plus subtilement que moi, par contre. Putain, c’est trop bien d’avoir le pouvoir pendant un certain laps de temps, parce que d’habitude j’dois me plier aux ‘exigences’ ou aux manies de monsieur Durden, ce soir, c’est lui qui paye. J’suis toujours au dessus de mon boyfriend, jubilant de ma mini victoire contre son crétin de meilleur ami et le chevauchant comme il se doit. Ses mains caressent le bas de mon dos, juste au dessus de mes fesses. Mes mains sont posées sur son torse et le griffent légèrement. Il pousse des cris sourds et rauques chaque fois que je ralentis mes mouvements de hanches et que je colle mon torse au sien pour mordre sa lèvre inférieure. Ce soir, ça doit être la meilleure baise que Caeden m’ait offerte depuis un bon moment. Je cite pas celle que j’ai eue auparavant parce que ce serait juste déplacé. Plus les minutes passent, plus je gémis et j’entends des sons de télévision en arrière. Il a trouvé de quoi s’occuper, faudrait lui donner une médaille pour ça. Je me mords la lèvre inférieure et me roule sous Caeden, je me place sur mes genoux et ses mains parcourent mon épiderme tandis que ses mouvements de vas-et-viens recommencent. Bordel, en ce moment j’aurais voulu que Connor ressente de la peine – ce qui est impossible – ou quoi que ce soit qui y ressemble, parce qu’il est pas le seul à pouvoir me faire crier son nom comme il l’a fait. Faut croire que pour deux mecs bâtis différemment physiquement, ils sont foutrement à leur affaire quand il s’agit de tout ce qui se passe dans la chambre, ou de n’importe quel endroit qui conviendrait à une partie de jambes en l’air.

Miraculeusement, Connor est pas encore revenu nous emmerder ou a pas encore démontré de signe de dérangement mental profond. Parce que oui, j’lui répète sans arrêt qu’il est débile et qu’il devrait penser deux fois avant d’agir, même si pour lui réfléchir deux fois c’est une fois avec son cerveau d’en haut, et une avec son cerveau d’en bas. « Vous êtes chez moi, alors on ne m'exclut pas des petits jeux et d'vos baises de minables, levez-vous et qu'on boive, diantre ! » MAIS QUEL ENFOIRÉ DE FILS DE… RAH MERDE QUOI ! « T’es qu’un espèce d’imbécile, FUCK ! » Caeden recouvre le plus de parties de mon corps qu’il peut. Malheureusement pour lui, l’autre connard a déjà tout vu. Trop vu, goûté même, mais ça c’est qu’un détail. On arrête sec et j’tente de me recouvrir le plus possible avec le drap présent sur le lit. J’laisse Caeden nu, lui il s’en tape mais pas moi. J’vais certainement pas faire une exposition nudiste pour faire remarquer à Caeden que je me tape du fait que Connor me voit en tenue d’Ève. Quoi qu’il en soit, on se lève et j’commence à ramasser mes vêtements. Caeden retrouve les siens plus rapidement que moi. Il m’le paiera cher ce petit con ! Je le pousse volontairement en cherchant mes autres bouts de tissu. « Comme si on aurait voulu de toi pour ce genre de chose… Faudrait déjà que tu saches performer. Qui plus est, t’es encore qu’un gamin… » J’m’enferme dans la salle de bain et me rhabille le plus rapidement possible. Quand j’en sors, ils sont dans le salon. « Merde, merde ! Quelqu’un a bousillé ma voiture, fuck ! Connor, mec, dis-moi que t’as vu quelque chose… » J’me retourne vers Connor, il a l’air suspect. J’pourrais pas dire si c’était lui, parce que y’avait du bruit et que de toute manière dans le quartier dans lequel on vit, les gens se gêneraient pas pour faire c’genre de trucs. « T’inquiètes babe, on trouvera qui a fait ça, hein Connor ? » J’ai changé d’expression et j’lui lance maintenant un regard noir, même s’il a son air nonchalant scotché au visage. J’prends la main de Caeden et caresse son bras. Bizarrement, on dirait que l’autre se crispe, mais c’est peut-être que moi. J’me retourne vers une armoire. Là où je sais que s’y cachent plusieurs bouteilles d’alcool. J’ouvre les petites portières et en sors de la vodka pure. Pour une fois, y’a du jus dans le frigo alors j’vais en prendre et le pose sur la table. J’ouvre la bouteille de vodka, me prends un verre, fais un mélange et ajoute un peu de glace. J’en fais aussi un à Caeden et lui ramène. « Ça devrait faire passer la colère… » J’calle le verre jusqu’à temps qu’il en reste plus une goutte. Ma recette pour la vodka-jus d’orange, c’est mettre le double de vodka. Ça saoule plus vite et on s’entend qu’en ce moment, on a clairement besoin de se saouler plus qu’on l’était avant de commencer.

« Non, j’préfère rentrer. J’vais tenter de trouver un moyen pour arranger ça au plus vite. » Il me remet le verre, et en gros ça veut dire qu’il me laisse en plan avec le trouduc dans l’appart. Saoul, en plus de ça… Eh bah, pour de la chance. « Tu viens avec moi ? » « J’dois travailler tôt demain. » Mensonge, mais vérité. Je sais pas, j’ai pas trop envie de bouger en fait… J’devrais, mais bon. Il s’approche de moi et me serre dans ses bras de manière trop sensuelle pour être politiquement correcte. Il m’embrasse langoureusement et je fais en sorte de nous retourner de manière à c’que Connor voie tout. Il détourne le regard, petit peureux de mes deux. Caeden le salut – parce que lui au moins il a des manières – et s’en va. « T’es qu’une pourriture. Si j’découvre que c’est toi qui as fait ça j’te bute, pigé ? » J’calle l’autre verre de vodka-jus d’orange et me dirige vers la salle de bain de nouveau. Besoin d’une douche, j’étais pleine de sueur tout à l’heure et je suis pas sûre que Connor apprécierait que j’m’étale partout comme ça. J’enlève mon haut, j’ai mon soutif. Vu que j’portais un short, ça devient simple. Soutif, short, culotte, sandales. Manque plus qu’à voir ce qui va se passer maintenant…
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MessageSujet: Re: i feel homesick when i'm not IN you - feat Jules   i feel homesick when i'm not IN you - feat Jules Icon_minitimeVen 25 Juin - 7:06


    Un peu plus et je danserais. Ouais, je danserais en boxer avec une bouteille d'alcool fort entre les doigts. Il ne m'en faudrait pas beaucoup plus que l'explosion de rage froide de la part de Jules quand elle boit la tasse. J'avoue que trempée comme ça, ça me rappelle doublement notre petite écartade à sa situation de couple. Je devrais me sentir concernée par le fait que j'ai moi-même trahi mon meilleur pote, mais sur la piste et pour du cul, y'a plus d'amitié qui tienne. Elle peut faire sa jolie nunuche éperdument amoureuse de Caeden, là, maintenant, alors que je me retrouve à peu près vêtu à une pièce près, mais c'est mon nom à moi qu'elle gémissait dans mon cou, ce sont ses ongles qui m'ont mis le dos dans cet état, quoique ce fut très excitant, difficile de justifer ça à la maison, parce que j'ai la fâcheuse habitude d'être un exhibitionniste. Ça fâche le père coincé de Jules - à croire qu'ils sont tous frustrés, les Bentley, d'ailleurs - que je me promène à moitié nu en perpét, même parfois quand on bouffe à table. Rien à foutre, lui, il n'est que le mec qui se tape ma mère. Et bien, quand même, parce que Esperanza Durden est pas foutu de garder pour elle certains détails que je préfèrerais ne jamais, JAMAIS avoir entendu « T’es qu’un espèce d’imbécile, FUCK ! ». Je souris, rive la caméra sur la tronche que fait Caeden, le regard illuminé, pas fâché pour si peu. Il me connait, on se connait depuis une décennie, putain, c'est pas les petites fesses de Jules qui vont y changer quoi que ce soit. Je prends une gorgée de Jack's tandis que je tends la bouteille à mon pote « Get lost Bentley. Caeden, j'peux pas comprendre que tu puisses vivre avec son caractère de merde, vraiment ». Cette fois, il ne rit pas. Il m'en veut pas non plus. Je crois cependant qu'il y a tient vraiment, à Jules. Oups « Putain, tu sais pas fermer ta grande gueule Connor, hein? ». Ça ne l'empêche pas de boire à même le goulot de mon Jack, puis de faire un pas pour sortir de la pièce. Je le suis, non sans adresser un sourire ravi à ma charmante demie-soeur qui se rhabille. Dommage, qu'est-ce qu'elle est canon quand elle porte que dalle « Comme si on aurait voulu de toi pour ce genre de chose… Faudrait déjà que tu saches performer. Qui plus est, t’es encore qu’un gamin… ». Je me marre en la voyant nous bousculer pour s'enfermer dans la salle de bain. Très bon plan pour tenter de te sortir de la tête que jt'ai fais crier comme personne, y'a quelques jours à peine. Putain, les femmes, on peut pas s'empêcher de les regarder même quand on sait pertinemment qu'elles sont toutes, au final, complètement tarées « Très peu pour moi, deux mecs, une fille. J'aime pas voler la vedette, et j'te donnerai pas la satisfaction de m'ajouter à la liste des gars qui t'ont sautés ». Je reçois un coup assez violent, dans mon état, sur l'épaule, pour la peine. Je crois que je pousse un peu, mais je m'en fiche. J'ai eu droit à un épanchement d'hormones, alors j'ai droit à la vengeance. La mienne, les mots. Je sais presque aussi bien parler que faire l'amour, et je parle comme personne. Demandez des commentaires, pour les deux, à la charmante brunette qui sort en ce moment même de la salle de bain.

    « Merde, merde ! Quelqu’un a bousillé ma voiture, fuck ! Connor, mec, dis-moi que t’as vu quelque chose… ». Je détourne la tête, regardant dehors. Je ne me souvenais plus que j'avais ça, mais ça me revient. Le coup de fil à Tammy, et la bouteille de vermouth que je balance sur la voiture parce que je supporte pas du tout de les entendre baiser. Puis, comble de l'horreur, Tamara qui me fait la leçon sur le fait que c'est pas tant entendre Caeden - putain, qu'est-ce que c'est arrivé souvent, vu notre expérience sur le terrain des boîtes, où on régnait en dieu et maître avant qu'il ne se case avec l'autre casse-pied - que de le savoir en train de baiser avec Jules. Je déteste la psychanalyse, et particulièrement celle de ma meilleure amie, parce que c'est la seule à laquelle je porte vraiment un moment de réflexion. Cette pensée m'agace royalement, je m'en fiche, de Jules, qu'est-ce qui lui fait penser le contraire? « T’inquiètes babe, on trouvera qui a fait ça, hein Connor ? ». Je sors de mes rêveries pour sentir le regard brûlant de la jeune femme sur moi. Arrête de me regarder comme ça, putain, j'ai envie de t'arracher ce que tu portes et que tu viens de remettre parce que je t'ai dérangé en train de te faire prendre. Je déteste que ce qui se trouve entre mes jambes soit aussi attiré par elle, sincèrement « Nan mec, désolé, je picolais en parlant à Tamara au téléphone. Au fait, faudrait que tu passes au garage, j'essaie de convaincre Mercy de te laisser conduire une bagnole qu'on est en train de monter ». Je réponds au regard de Jules par un sourire narquois, puis je passe la main dans mes cheveux. Je m'approche du balcon pour regarder l'étendue des dégâts. Fuck, une bouteille, ça fait d'la merde. Quand je me retourne, Bentley est en train de donner un verre à Caeden. Je souris intérieurement. Essaie pas de calmer un mec qui vient de se faire bousiller sa caisse. Dans l'ordre de priorité, la baise vient en premier, la voiture tout de suite en dessous. Comme t'a des vêtements, présentement, t'es pas de taille, désolé. Comme pour confirmer ma pensée, j'écoute la réponse de mon pote « Non, j’préfère rentrer. J’vais tenter de trouver un moyen pour arranger ça au plus vite ». Il l'invite même à le suivre, elle décline. Tiens donc, c'est intéressant, ça. J'dois supporter l'écoeurante effusion de sentiment qui se déroule devant moi, je m'assois sur le comptoir et m'envoie une bonne dose de whisky. Y'a rien de mieux pour passer ce feeling dégueulasse dans mes entrailles « J'vais bousiller la gueule du minable qui a fait ça à ta caisse, t'inquiète. Tu sais que si j'suis sur le coup, y'a pas une foutue chance qu'il s'en sorte... ». Il lève les yeux au ciel, puis m'dit aurevoir.

    Il a claqué la porte et elle a même pas attendu qu'il soit descendu qu'elle se met à me crier dessus. Putain de merde, elle peut pas parler moins fort, jamais, celle-là ? « T’es qu’une pourriture. Si j’découvre que c’est toi qui as fait ça j’te bute, pigé ? ». Je pourrais me marrer, mais non. En fait, je fais un pas dans sa direction, pas intimidé le moins du monde « Oh mais fais donc. Je jure que j'vais lui répondre moins évasivement quand j'lui dirai c'est qui qui m'a détruit le dos à coup d'griffes comme une chatte en chaleur... ». Je me demande si je vais devoir subir une gifle, mais non. Elle se contente de prendre le chemin de la salle de bain, j'en suis certain. Dès qu'un truc la contrarie, c'est vers là qu'elle se dirige, et comme je la contrarie vachement souvent, j'le sais que trop bien. Je m'envoie une bonne rasade de Jack Daniel's, puis commence à en sentir les effets. Je fais un pas, puis un autre, mettre un pied devant l'autre, c'est pas compliqué, bordel de merde. Je m'adosse sur le mur devant la salle de bain, puis me laisser glisser jusqu'au sol. J'remarque que Jules est pas foutu de savoir fermer une porte comme il faut, alors je balance un coup de pied dedans. Soutif et short, torride, comme d'habitude. J'avale péniblement ma salive, parce que je suis excité et, du coup, je pense qu'à ça. Elle m'aide pas non plus « Tu sais quoi Bentley? T'es tellement plus chaude quand t'es toute nue! ».
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